Josée Kamoun
Autrice et traductrice de l’anglais
© Camille MCouat
Dictionnaire amoureux de la traduction
Josée Kamoun (Plon, 2024)
Au festival
Dictionnaire amoureux de la traduction
Samedi 5 octobre, 9h45
Château du Val Fleury 1 (1er étage)
Séance dédicace 10h45
Librairie éphémère
Biographie
Josée Kamoun est née à Tunis d’un père sicilien inspecteur de la Mondaine et d’une mère parisienne, professeure de philosophie. Elle a grandi à Marseille et est arrivée à Paris bac en poche en 1968.
Agrégée d’anglais , titulaire d’une licence en anthropologie sociale et docteure en littérature, elle a enseigné la littérature anglaise dans les classes préparatoires en France, et la littérature française dans des universités américaines. Elle anime des séminaires et assure aujourd’hui des mentorats auprès de jeunes traducteurs.
Elle a traduit une soixantaine de livres, le plus souvent des romans (John Irving, Philip Roth, Jack Kerouac, George Orwell, Virginia Woolf, Jonathan Coe, Richard Ford, Bernard Malamud, Aldous Huxley, etc).
“Créature elle-même réversible par circonstance et par inclination”
Bibliographie
- Dictionnaire amoureux de la traduction (Plon, 2024)
Dernières traductions
- Blake Bailey, Biographie de Philip Roth (Gallimard, 2022)
- Richard Ford, Rien à déclarer (recueil de nouvelles) (L’Olivier, 2021)
- Philippe Roth, Les Faits (Gallimard, nouvelle traduction 2020)
- Robin Robertson, Walker, roman-poème (L’Olivier, 2020)
- Ceridwen Dowey, Au Jardin des fugitifs (Heloïse d’Ormesson, 2019)
- Jonathan Coe, Le Cœur de l’Angleterre (Gallimard, 2019)
- George Orwell, 1984 (Gallimard, 2018)
- Bernard Malamud, Le Tonneau magique, nouvelles (Payot Rivages, 2018)
- Richard Ford, Entre eux (autobiographie) (L’Olivier, 2017)
- John Irving, Avenue des Mystères (Le Seuil, 2016) (cotraduit avec Olivier Grenot)
- Jonathan Coe, Numéro 11 (Gallimard, 2015)
- Jonathan Coe, Désaccords imparfaits (nouvelles) (Gallimard, 2015)
- Bernard Malamud, Le Meilleur (Payot Rivages, 2015)
- Edmund De Waal, La Voie blanche (Autrement, 2015)
- Richard Ford, En toute franchise, (L’Olivier, 2015)
- Lucy Caldwell, Des vies parallèles (Plon Edi 8, 2014)
- Richard Ford, Canada (L’Olivier, 2013) – Prix Fémina étranger
- Julie Orringer, Le Pont invisible (L’Olivier, 2013)
- Jonathan Coe, Expo 58 (Gallimard, 2013)
- Jonathan Coe, Notes marginales et bénéfices du doute (essais) (Gallimard, 2013)
- John Irving, À moi seul bien des personnages (Le Seuil, 2013) (co-traduit avec Olivier Grenot)
- John Irving, Dernière nuit à Twisted River (Le Seuil, 2011)