Amandine Gay était venue parler de son projet de documentaire « Ouvrir la voix » lors de la 4e édition de Vo-Vf, à l’occasion de la sortie de « Ne suis-je pas une femme de bell hooks », traduit par Olga Potot (Ed. Cambourakis) dont elle signait la préface.

Son film documentaire, auto-produit, est encore à l’affiche en France après six mois d’exploitation et désormais présenté à l’étranger. Les jeunes femmes noires qu’elle interviewe y racontent des expériences individuelles, mais similaires qui démontrent qu’il ne s’agit pas d’un problème individuel, mais de confrontations quotidiennes à un racisme systémique.

Lire la suite de l’article sur le magazine du Goethe Institut