Marie Vrinat-Nikolov

Traductrice du bulgare

Marie Vrinat-Nikolov, traductrice du bulgare
Le jardinier et la mort<br />
Gueorgui Gospodinov, traduit du bulgare par Marie Vrinat-Nikolov (Gallimard, 2025)

Le jardinier et la mort

Gueorgui Gospodinov,
traduit du bulgare par Marie Vrinat-Nikolov
(Gallimard, 2025)

Au festival

Traductrice à l’honneur : Marie Vrinat-Nikolov
Samedi 4 octobre, 14h
Château du Val Fleury 1 (1er étage)

Séance dédicace à 15h15
Librairie éphémère

Biographie

Marie Vrinat-Nikolov, ancienne élève de l’ENS de Sèvres et agrégée de Lettres classiques, professeur des universités en langue et littérature bulgares et en théorie de la traduction littéraire à l’Inalco, est co-responsable du master de traduction littéraire de l’Inalco et directrice scientifique des Presses de l’Inalco.

Elle est l’auteur de manuels de bulgare, ainsi que de nombreux articles et ouvrages sur l’histoire de la littérature bulgare, l’histoire de la traduction en Bulgarie et la pensée de la traduction littéraire, dont Histoire de la traduction en Europe médiane (avec Antoine Chalvin, Jean-Léon Muller et Katre Talviste), Presses universitaires de Rennes, 2019 ; Miroir de l’altérité : la traduction, ELLUG, 2006 ; Shakespeare a mal aux dents : que traduit-on quand on traduit (avec Patrick Maurus), Presses de l’Inalco, 2018 ; en cours (avec Alexis Nouss et Louis Watier) : Abécédaire critique du traduire.

Pour son activité de rayonnement de la littérature bulgare, elle a reçu plusieurs prix et distinctions (dont le prix Etienne Dolet de Sorbonne Université en 2021) et le titre de Docteur honoris causa de l’université de Sofia en 2024.

Prix

  • Prix Mallarmé étranger de la traduction – 2024 – Là où nous ne sommes pas, Guéorgui Gospodinov
  • Prix de la traduction du Pen-club – 2023 – Vierge jurée, Rene Karabash
  • Prix Fragonard – 2022 – Les dévastés, Théodora Dimova
  • Prix Etienne-Dolet de Sorbonne université – 2021
  • Prix écureuil – 1990 – Ballade pour Georg Henig, Victor Paskov

Bibliographie

  • Le jardinier et la mort, Gueorgui Gospodinov (Gallimard, 2025)
  • Allemagne, conte obscène, Victor Paskov (Éditions du Typhon, 2023)
  • Là où nous ne sommes pas, Guéorgui Gospodinov (Les Carnets du Dessert de Lune, 2023)
  • Les doux, Anguel Igov (Intervalles, 2023)
  • Rhapsodie balkanique, Maria Kassimova-Moisset (Les Syrtes, 2023)
  • Férocement sage, Amélia Litcheva (Les Carnets du Dessert de Lune, 2023)
  • Les dévastés, Théodora Dimova (Les Syrtes, 2022)
  • Vierge jurée, Rene Karabash (Belleville, 2022)
  • Le pays du passé, Guéorgui Gospodinov (Gallimard, 2021)
  • Tous nos corps, Guéorgui Gospodinov (Intervalles, 2020)
  • La caverne vide, Dimana Trankova (Intervalles, 2019)
  • Baï Ganiou, Aleko Konstantinov (Non-lieu, 2018)
  • Souvenirs de la peur et autres poèmes, Konstantin Pavlov (PSN, 2016)
  • Physique de la mélancolie, Guéorgui Gospodinov (Intervalles, 2015)
  • Chaconne, Emilia Dvorianova (Rue d’Ulm, 2015)
  • L’Alphabet des femmes, Guéorgui Gospodinov (Arléa, 2003 ; rééd. poche 2014)
  • Sous le Joug, Ivan Vazov (Fayard, 2007)
  • Mères, Théodora Dimova (Les Syrtes, 2006)
  • Souvenirs de chevaux, Yordan Raditchkov (Fata Morgana, 2002)
  • Un roman naturel, Guéorgui Gospodinov (Phébus, 2002 ; Intervalles, 2017)
  • Ballade pour Georg Henig, Victor Paskov (Éditions de l’Aube, 1989)