Éric Boury
Traducteur de l’islandais
© Éric Boury
Eden
Auður Ava Ólafsdóttir,
traduit de l’islandais par Eric Boury (Zulma, 2023)
Au festival
Traducteur à l’honneur
Éric Boury. L’Islande, “ma maison intérieure”
Samedi 5 octobre, 14h
Château du Val Fleury 1 (1er étage)
Séance dédicace à 15h15
Librairie éphémère
Biographie
Né en 1967, titulaire d’un DEA de Langues scandinaves obtenu à Paris-IV-La Sorbonne sous la direction de Régis Boyer et d’une Maîtrise d’islandais de l’Université de Caen, Éric Boury traduit les œuvres d’un grand nombre d’auteurs et autrices islandais.es depuis les années 2000.
Il a reçu en 2017 le Grand prix de la Société des Gens de Lettres pour l’ensemble de ses traductions et à l’occasion de la publication de D’ailleurs, les poissons n’ont pas de pieds de Jón Kalman Stefánsson. En 2018, il s’est vu remettre par l’Islande la récompense Orðstír (Éloges) pour son travail de traduction et de promotion de la littérature islandaise à l’étranger.
Prix
- Prix du livre étranger France Inter – 2022 – Ton absence n’est que ténèbres, Jón Kalman Stefánsson
- Prix Médicis étranger – 2019 – Miss Islande, Auður Ava Ólafsdóttir
- Grand prix de la Société des Gens de Lettres – 2017 – D’ailleurs, les poissons n’ont pas de pieds, Jón Kalman Stefánsson
Dernières traductions
- Hundadagar, Einar Már Guðmundsson (Zulma, 2024)
- Les parias, Arnaldur Indriðason (Métailié, 2024)
- Soixante kilos de soleil, Hallgrímur Helgason (Gallimard, 2024)
- Mon sous-marin jaune, Jón Kalman Stefánsson (Christian Bourgois, 2024)
- Éruptions Amour et autres cataclysmes, Sigríður Hagalín Björnsdóttir, (Gaïa, 2024)
- Eden, Auður Ava Ólafsdóttir (Zulma, 2023)
- Le coup de tête, Sigrún Pálsdóttir (Métailié, 2023)
- Le roi et l’horloger, Arnaldur Indriðason ( Métailié, 2023)
- Le mur des silences, Arnaldur Indriðason (Métailié, 2022)
- Ton absence n’est que ténèbres, Jón Kalman Stefánsson (Grasset, 2022)
- La pierre du remords, Arnaldur Indriðason (Métailié, 2021)
- Oiseaux de tempête, Einar Kárason (Grasset, 2021)
- La vérité sur la lumière, Auður Ava Ólafsdóttir (Zulma, 2021)
- Blond comme les blés, Sjón (Métailié, 2021)
- Un été norvégien, Einar Már Guðmundsson (Zulma, 2020)
- Lumière d’été, puis vient la nuit, Jón Kalman Stefánsson (Grasset, 2020)
- La lectrice disparue, Sigríður Hagalín Björnsdóttir (Gaïa Éditions, 2020)
- Les fantômes de Reykjavík, Arnaldur Indriðason (Métailié, 2020)
- Ce que savait la nuit, Arnaldur Indriðason (Métailié, 2019)
- L’affaire Benedikt Gröndal, Guðmundur Andri Thorsson (Gallimard, Du monde entier, 2019)
- Gæska – La bonté, Eiríkur Örn Norðdahl (Éditions Métailié, 2019)
- Miss Islande, Auður Ava Ólafsdóttir (Zulma, 2019)